Les six étapes de l’acquisition d’une entreprise

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Les six étapes de l’acquisition d’une entreprise

reprise d'entreprise

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L’acquisition d’une entreprise ne commence pas par une démarche auprès du vendeur. Vous devez d’abord vous préparer. Commencez par votre ambition personnelle et votre potentiel. Savoir à quoi s’attendre, de la première étape à la transaction finale, augmentera votre enthousiasme et vos chances de réussite. Les six étapes suivantes vous aideront à y parvenir.

1. Être clair sur ce que vous voulez

Pour avoir une idée claire de ce que vous voulez, il est utile de dresser le profil de votre type d’acheteur. Déterminez vos préférences en matière d’achat. Avez-vous de l’expérience dans un domaine particulier ? Dans ce cas, il peut être judicieux de rechercher des entreprises vendeuses dans ce domaine. Ou souhaitez-vous vous engager dans une nouvelle voie ? Pour créer un tel profil, vous devez vous poser quelques questions. Quelle région recherchez-vous ? Envisagez-vous de restructurer l’entreprise (c’est-à-dire de l’acquérir à un prix peu élevé) ou souhaitez-vous acheter un portefeuille de clients pour démarrer immédiatement vos activités ? Quelles sont vos options financières ?

Faites-vous une idée précise de vos ambitions et des options qui s’offrent à vous. Vous pourrez ainsi orienter votre recherche de l’entreprise adéquate. Que vous connaissiez ou non le vendeur, cette préparation est essentielle. Elle vous aidera à prendre les bonnes décisions à un stade ultérieur. Dans cette optique, faire appel à un prestataire spécialisé dans le rachat d’entreprise comme Business Consulting Group est une excellente idée. Ses spécialistes peuvent vous accompagner dans les différentes étapes du processus, en particulier :

  • L’analyse des risques,
  • La préparation de la stratégie,
  • Les négociations,
  • L’évaluation et la due diligence,
  • La fermeture de la transaction.

Pour obtenir de plus amples renseignements à ce sur le cession d’entreprise vous pouvez prendre contact avec nous. On peut encore rencontrer ses experts à l’adresse 59, chemientreprise.htmln de Moulin Carron, 69570 Dardilly Lyon Métropole.

2. Trouver la bonne entreprise

Le vendeur potentiel n’est pas votre employeur ou quelqu’un de votre réseau ou de votre famille ? Dans ce cas, vous devez commencer à chercher ailleurs. Les vendeurs disposent de nombreuses possibilités pour recommander des entreprises. Par exemple, les bases de données, les associations professionnelles, les sociétés immobilières commerciales, les comptables et les spécialistes de l’acquisition. Commencez votre recherche par là.

Utilisez le profil que vous avez créé à l’étape 1 pour limiter les vendeurs que vous trouvez. Contactez ensuite le vendeur de manière anonyme ou par l’intermédiaire d’un consultant. Observez également l’itinéraire du vendeur. Vous comprendrez ainsi les motivations de toutes les personnes impliquées dans le processus.

3. Négociations avec le vendeur

Vous avez pris contact. Le vendeur apprécie évidemment que vous ayez fait vos devoirs. Parfois, le profil de la première étape est une condition pour entamer les négociations. Si vous êtes bien préparé, le vendeur sera disposé à partager la plupart des informations confidentielles concernant l’œuvre de votre vie. Le vendeur doit également être bien préparé et disposer de toutes les informations nécessaires pour l’entretien. Par exemple, des informations sur le chiffre d’affaires, les effectifs, la clientèle, le stock, l’emplacement, les droits de marque, les options de poursuite de la location des locaux commerciaux et les chiffres à l’appui du prix demandé. En bref, il s’agit des informations contenues dans la brochure de vente. Il s’agit également du protocole de vente.

Une lettre d’intention est généralement rédigée. Elle constitue la base de l’accord d’acquisition. Elle comprend des accords sur les procédures de négociation, l’exclusivité et la confidentialité. Avec une lettre d’intention, vous et le vendeur savez exactement comment se déroulera le processus de négociation. Elle permet également de prévenir les litiges. D’autre part, examinez d’autres aspects de l’acquisition. Examinez les affaires de responsabilité du fait des produits, les affaires judiciaires en cours, les réclamations, les responsabilités et toute autre question qui n’est pas couverte par le protocole de vente.

4. Financement de l’acquisition

Vous avez pris votre décision. L’entreprise que vous avez choisie est adaptée à vos objectifs et financièrement intéressante. Mais est-elle financièrement réalisable ? Réunir les fonds nécessaires est un problème très difficile. Heureusement, il s’agit généralement d’un casse-tête facile à résoudre grâce au système fiscal intéressant. Il va sans dire qu’il existe de nombreuses structures créatives sur lesquelles le vendeur et vous-même pouvez vous mettre d’accord. Par exemple, un partenariat temporaire dans lequel les bénéfices futurs sont utilisés comme partie du prix d’achat.

5. Phase finale

Tous les signaux sont passés au vert et l’acquisition peut avoir lieu. Toutefois, certaines questions doivent encore être résolues. Par exemple, les états financiers de l’entreprise doivent être examinés. C’est ce que l’on appelle la « diligence raisonnable ». En outre, un contrat d’achat doit être rédigé, les clients et les fournisseurs doivent être informés et l’entreprise ne doit pas oublier de s’inscrire au

6. Après l’acquisition

Vous savez maintenant ce que vous devez faire pour faciliter l’acquisition. Vous avez compris les chiffres, les projections et les faits concernant l’entreprise que vous allez acquérir. Le feu vert est donné et vous êtes prêt à devenir le nouveau propriétaire. C’est alors que les choses concrètes commencent. Il se peut que ce ne soit pas ce à quoi vous vous attendiez. De manière positive, parce que grâce à votre esprit neuf, le chiffre d’affaires affiche une tendance à la hausse. Ou d’une manière négative, comme l’apparition soudaine d’une dette qui ne figurait pas dans le bilan du vendeur.